Quelle source de financement choisir pour donner vie à son projet ?

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Thomas Meyer

Bienvenue dans ce dernier cours d’introduction de la formation Création d’Entreprise de LiveMentor. Cours qui est complètement dédié aux choix des sources de financement pour votre projet.

Chronologiquement, nous avons déjà vu dans les 3 cours précédents :

À ce stade, vous avez donc défini votre projet et choisi la bonne structure juridique permettant de transformer votre projet en entreprise. C’est super !

Désormais, votre objectif va être de trouver une source de financement pour donner vie à votre entreprise.

Soyons franc, il ne s’agit pas de l’étape la plus simple. Il faudra réfléchir aux options à activer dans son plan financier ainsi qu’aux arguments à mettre en avant pour obtenir ce financement. En revanche, si vous avez bien travaillé les 3 éléments ci-haut, la tâche sera facilitée, croyez-moi !

Même si vous avez la meilleure idée du monde, il vous faudra tout de même toquer aux portes pour aller chercher des fonds. Je vous rassure, ces portes sont nombreuses et il y en aura forcément une qui sera plus adaptée à votre projet :

Il existe toujours des moyens pour récupérer de la trésorerie ! Chaque rencontre est une chance de convaincre quelqu’un de nous faire confiance et d’investir dans notre projet.

C’est en parti votre Pitch et votre Business Plan qui feront la différence. Ils sont essentiels dans votre quête de financement et nécessitent d’être cohérents et bien travaillés en amont !

Quels qu’ils soient, ces fonds devront être retranscrits dans vos documents comptables et ce n’est pas toujours évident au premier abord.

retranscrire ses fonds dans ses documents comptables

Voyons donc ensemble quels sont les 4 principales sources de financement et comment on les modélise d’un point de vue comptable !

1ère Source de Financement : Le Capital

2ème Source de Financement : Les Dettes Financières

3ème Source de Financement : Les Subventions

4ème Source de Financement : Les Quasi-Fonds Propres

1ère Source de Financement : Le Capital

La source de financement par capital ou encore en « equity » (en anglais) correspond au niveau du capital social de votre société. On parle également d’apport en capital.

Dans ce cas, une personne X apporte de l’argent, de la trésorerie disponible, à une entreprise moyennant un échange de parts sociales (titres de la société).

Par exemple, dans le cadre d’une levée de fonds, un actionnaire va injecter 50 000 euros dans la trésorerie de votre projet. En contrepartie, il deviendra actionnaire de votre société et détiendra X% de votre entreprise en fonction du montant apporté.

En investissant dans le capital d’une société, vous en devenez donc actionnaire. Le montant investi par chaque actionnaire définira la répartition de l’actionnariat de la société en fonction de la valeur d’un titre de cette société. Un apport en capital peut être réalisé par les associés-fondateurs, la famille/amis (love money), un financement participatif (crowdfunding) sur Ulule ou Kickstarter par exemple ou encore des investisseurs (Business Angels ou fonds d’investissement).

Les choix sont nombreux, et comme je le dis plus haut dans l’introduction, il existe toujours des moyens pour récupérer de la trésorerie ! Quand je parle de sources de financement de projet avec des entrepreneurs de la communauté LiveMentor, je pense sans cesse à l’histoire de Taïg Khris, ancien triple champion du monde de roller, qui s’est battu chaque mois pour trouver 250 000€ pendant deux ans afin de faire survivre sa société Onoff.

Taïg Khris savait que le temps était sa ressource la plus précieuse en tant qu’entrepreneur. Il a eu l’intelligence de laisser de côté les fonds d’investissement qui lui fermaient la porte au nez au début de son aventure, pour concentrer ses efforts ailleurs (love money). Il n’a pas gâché son temps et son énergie à essayer de chercher de l’argent aux mauvais endroits !

Taïg croit en son projet. Il en parle comme si c’était son bébé, systématiquement. C’est d’ailleurs ce qui lui a permis de convaincre son voisin de siège dans l’avion d’investir 300 000€.

Bien, revenons à nos moutons après cette belle leçon tirée de l’histoire du champion du monde de roller !

L’argent apporté à la société sous forme d’apport en capital lui est définitivement acquis. Ainsi, le capital figure à l’actif du bilan de l’entreprise (ce que vous possédez).

Par exemple, si le titre unitaire de votre entreprise est de 50 euros et que le ticket d’investissement de l’actionnaire X est de 50 000 euros, alors il détiendra 5 000 titres à 50 euros qui vont représenter X% de votre capital social en fonction de votre table de capitalisation.

Un investisseur peut uniquement récupérer son argent en cas de cessions de ses parts ou bien en cas de liquidation de la société (=fermeture/cessation d’activité).

Lors de toute création de société, un capital social de base doit être apporté (différent selon le statut juridique choisi). Le montant du capital social pourra être amené à évoluer au cours de la vie d’une société grâce à des apports ou des réductions de capital.

Ces évolutions doivent impérativement être actées par une assemblée générale (ordinaire ou extraordinaire).

Assemblée générale ordinaire (AGO) = réunion avec tous les associés et actionnaires d’une entreprise qui a lieu au minimum 1 fois par an, dans les 6 mois qui suivent la clôture de l’exercice comptable. Les actionnaires doivent recevoir une convocation par lettre recommandée avec accusé de réception au moins 15 jours avant la date convenue. Cette convocation doit contenir : ordre du jour, textes qui seront votés et vos comptes annuels afin de les valider. Si vous avez une société unipersonnelle avec un associé unique, il est alors inutile de rédiger une convocation avant la réunion.

Assemblée générale extraordinaire (AGE) = Cette réunion d’associés et d’actionnaires se déroule si et seulement si, des décisions exceptionnelles doivent être prises (modifications des statuts juridiques, changement de l’objet de la société, cessions de parts sociales, liquidation ou dissolution, fusion, augmentation ou diminution du capital social, changement d’adresse du siège social…). Contrairement à l’AGO qui doit se tenir obligatoirement au moins 1 fois par an, l’AGE relève d’un caractère exceptionnel.

Exemple de table de capitalisation (actionnariat d’une société) pour une société ayant un capital social de 10 000€ et une valeur de ses titres à 1€ (soit 10 000 actions) :

table de capitalisation d'une entreprise

Ce sont les avocats qui définissent les tables de capitalisation à chaque augmentation ou diminution du capital d’une société.

2ème Source de Financement : Les Dettes Financières

Cette deuxième source de financement n’est étrangère à personne. Nous savons tous ce qu’est un emprunt ou un découvert bancaire, nul besoin de revenir dessus.

Ce qu’il faut savoir en revanche, c’est que ces dettes financières vont apparaître dans votre bilan, plus précisément au passif (ce que vous devez) !

dettes financières au passif du bilan

Bien évidemment, un emprunt auprès de votre banque s’inscrit dans la colonne du passif car il est matérialisé par une dette que vous avez envers votre banque.

Il existe 2 types de dettes financières :

Les dettes à court terme

  • découverts bancaires

Les dettes à long terme

  • les prêts auprès d’établissement de crédit (banques principalement)
  • les obligations (emprunts obligataires)
  • les emprunts auprès des associés (compte courant d’associés)

Les emprunts bancaires (prêts auprès d’établissement de crédit) sont simplement des dettes contractées auprès d’une ou plusieurs banques. Ils impliquent donc un remboursement du capital (sur une durée plus ou moins longue en fonction de ce que vous avez négocié avec votre banquier), ainsi qu’une rémunération (intérêts à taux fixe ou variable) pour le montant prêté.

De manière générale, un emprunt bancaire est là pour financer un investissement qui contribuera au développement de la société, qui sera à même de rembourser ce montant avec des intérêts grâce à l’engrais planté par la banque. Attention, il ne faut pas confondre les prêts avec le capital social (ce que vous possédez). Dans le cadre d’un prêt, l’argent n’est pas acquis, il est simplement prêté.

Les obligations correspondent à une dette émise par la société elle-même avec le versement d’un intérêt périodiquement et le remboursement du capital à une date prévue. À noter qu’à la différence d’un emprunt bancaire qui est contracté auprès d’un intermédiaire financier, une obligation est émise sur le marché financier. Ceci veut dire quel n’importe quel investisseur (y compris vous et moi) peut acheter des obligations. Ce moyen de financement est plus adapté pour des sociétés déjà matures ayant démontré la réussite de leur Business Model.

Des entreprises comme l’Olympique Lyonnais par exemple, qui est actuellement l’un des seuls clubs de football français côté en bourse avec l’émission d’obligations convertibles en actions. L’objectif derrière cette stratégie financière est de récolter des fonds propres pour la construction du Grand Stade. Qu’il est malin ce Jean-Michel Aulas !

Pour la petite anecdote, l’un de mes amis apporte 9 euros chaque semaine dans les comptes de l’Olympique Lyonnais. Il est donc considéré comme actionnaire (à son niveau) et touche des intérêts plus ou moins élevés en fonction du cours de l’action, pour le prix d’un paquet de cigarettes par semaine…

Voyons maintenant comment modéliser une dette financière dans votre plan financier !

Admettons que vous veniez d’emprunter 100 000€ à votre banque. Vous remboursez 10 000€ tous les ans moyennant 100€ de taux d’intérêt pour faire simple. Vous avez donc 100 000€ au passif de votre bilan car vous devez rendre cet argent.

Comment cela se retranscrit dans votre bilan ?

homme qui fait de la comptabilité

C’est en fait très simple ! À la fin de la première année comptable (N) vous n’aurez plus que 90 000€ dans votre passif puisque vous aurez remboursé 10 000€. Et comme vous ne possédez plus ces 10 000€ que vous avez remboursé, vous allez donc logiquement les retirer de l’actif de votre bilan (ce que vous détenez), et plus précisément de votre trésorerie.

En résumé : -10 000€ dans votre emprunt bancaire (passif) donc -10 000€ dans votre trésorerie (actif). La boucle est bouclée.

Rappelez-vous, le passif et l’actif de votre bilan doivent toujours être égaux. Dans le cas contraire, votre bilan sera déséquilibré !

Maintenant, que se passe-t-il au niveau de votre compte de résultat (charges et produits) ?

Le remboursement d’un emprunt n’est pas une charge ! C’est uniquement de l’actif et du passif. En revanche, rappelez-vous, vous avez 100€ de taux d’intérêt. Ce sont ces 100€ qui vont aller dans votre compte de résultat car ils représentent une charge financière (compte de classe comptable 6) !

Voilà l’idée à comprendre dans la modélisation d’un emprunt bancaire et des charges financières.

Enfin, les comptes courants d’associés sont des prêts contractés auprès des associés de la société.

Le compte courant d’associés est une notion importante à avoir en tête.

Pourquoi ?

Simplement parce que vous pouvez très bien apporter de l’argent à votre société vous-même. En d’autres termes, vous allez prêter de l’argent à votre entreprise qui vous remboursera plus tard, lorsque sa santé et ses capacités financières le permettront. Dans ce cas, vous et/ou vos associés êtes votre propre source de financement !

Contrairement à un apport en capital par les sociétés, l’apport en compte courant d’associés implique un remboursement et peut également être rémunéré comme un emprunt bancaire aux taux d’intérêts du marché.

L’ensemble de ces dettes financières figurent au passif du bilan de la société.

Important : les dettes financières ne doivent pas être confondues avec les dettes d’exploitation qui regroupent les dettes fournisseurs ou encore fiscales et sociales !

3ème Source de Financement : Les Subventions

Cette troisième source de financement est souvent négligée par les entrepreneurs qui la prennent trop peu en compte dans leur plan financier. Deux raisons peuvent expliquer cela :

  1. Le porteur de projet ne s’est pas renseigné sur ce type de financement
  2. Obtenir le financement d’un projet par les subventions représente presque un projet en lui-même (ce n’est pas la source de financement la plus simple à obtenir)

Pourtant, les dispositifs publics mis en avant par les collectivités locales pour soutenir les entreprises dans leur développement sont nombreux !

Une subvention est une aide financière accordée par l’Etat. Elle permet en général de financer un projet ou un stade de développement. Ses modes d’attribution ou de remboursement dépendent de chaque subvention et de son organisme prêteur (BPI, CCI, région,…).

De manière générale, une subvention n’est pas donnée pour financer la société dans son entièreté. Elle concerne généralement le financement d’un projet particulier de l’entreprise (matériels spécifiques, recrutements, innovations…) qui concorde avec le projet de la collectivité locale sous la tutelle de l’État. Il est important de comprendre qu’une subvention n’est pas là pour financer la totalité de votre projet.

Le site Subventions.fr permet de retrouver les aides de l’Etat en fonction de votre région et de votre activité. Les subventions figurent au compte de résultat en tant que produit d’exploitation.

Dans notre formation complète, nous avons un cours dédié aux subventions dans lequel Mehdi (Directeur Administratif et Financier de LiveMentor) nous explique en détails comment obtenir une subvention étape par étape. Dans cet article, l’objectif est plutôt de comprendre ce mode de financement d’un point de vu comptable.

Attention : une subvention n’est pas un don, ni une obligation et des contreparties existent (différentes en fonction de leur type). Pour obtenir des subventions, il vous faudra remplir un dossier et être éligible. Il y a une commission avec un taux d’acceptation bien défini et ce n’est pas obligatoire de recevoir la subvention, ce qui en freine plus d’un. Vous n’avez pas de recours si la commission a décidé de vous refuser la subvention.

financer son projet par la subvention

Pour obtenir une subvention, il vous faudra donc remplir certains critères :

  • Justifier que votre projet concorde avec les objectifs poursuivis par l’État (création d’emplois, innovations spécifiques, actions environnementales, énergies renouvelables, formations…). Pour cela, vous devrez identifier en amont, la ou les problématique(s) publique(s) auxquelles votre projet apporte une solution, un impact positif.
  • Justifier que le soutien financier apporté par l’État est déterminant dans l’avancée de votre projet.
  • Démontrez que vous avez la capacité de financer le reste de votre projet, le projet n’étant pas soutenu dans son entièreté.

Par exemple, si vous êtes un organisme de coaching pour sportif, vous pouvez justifier le fait que vous avez pour but de démocratiser et de rendre accessible le suivi des performances sportives pour tous et pas que les athlètes ! Ainsi, vous contribuerez à la rédaction du taux d’obésité (santé) mais aussi à la création d’emploi pour des coachs sportifs spécialisés sur une région donnée (économie). Vous serez également capable de montrer que vous avez ou que vous allez avoir suffisamment de fonds propres pour financer le reste de votre projet.

Dans les faits, il faudra aller plus loin que cet exemple trivial dans vos justifications. Si vous ne respectez pas les différentes obligations préalablement définies avec la commission suite à l’acceptation du financement par une subvention, vous allez être contraint de rembourser le montant obtenu ! Ce qui serait bien dommage au vu du travail précédemment accompli. Surtout, j’imagine que vous n’avez pas forcément prévu dans votre prévisionnel de trésorerie, de devoir rembourser cette subvention à l’État…

Ce qui est très important à avoir en tête avec ce mode de financement, c’est que les subventions, contrairement aux emprunts, ne viennent pas dans le bilan (au passif). Ce n’est pas quelque chose que vous devez ! Par contre, elles apparaissent dans votre compte de résultat en tant que produit d’exploitation (cf cours numéro 2 sur le bilan et le compte de résultat).

subventions : source de financement qui apparaît dans le compte de résultat

Pourquoi ces subventions n’apparaissant pas dans le bilan mais dans le compte de résultat ?… C’est une excellente question !

Ici, il faut bien comprendre que cette aide financière accordée par l’État ne représente pas de l’argent que vous devez. C’est plutôt de l’argent que l’on vous donne moyennant une contrepartie. Ainsi, ces subventions ne peuvent rentrer dans le passif de votre bilan.

Ça ne rentre pas non plus dans l’actif du bilan dans le sens où ce n’est pas vraiment quelque chose que vous possédez. Ce n’est pas une créance qui va être encaissée. Bien sûr, cet argent va rentrer dans votre trésorerie, mais comme vous le savez, il y a toujours une contrepartie en comptabilité, eh oui !

Si cet argent entre dans votre trésorerie, alors il faudra nécessairement qu’il y ait une compensation quelque part. Que ce soit au passif du bilan ou dans votre compte de résultat.

Dans le cas des subventions, la contrepartie apparaît au compte de résultat et c’est un produit d’exploitation ! That’s it.

Une subvention n’est pas une finance de long terme. Elle a plutôt pour but de vous apporter un coup de pouce pour un investissement spécifique !

Pour terminer sur ce moyen de financement, j’ajouterais qu’il est essentiel d’avoir une vision sur les projets à venir de sa société afin de pouvoir solliciter avec pertinence, les collectivités territoriales.

Je ne peux que vous conseiller de faire valider votre vision et votre dossier à votre entourage ainsi qu’à des professionnels du métier pour ne pas vous jeter dans l’arène sans épée, ni bouclier.

Le terrain des subventions, bien que plein d’opportunités est aussi parfois bourbier. Un dispositif peut disparaître ou encore être prolongé. Lors de votre échange avec l’organisme concerné, demandez un maximum d’information sur les conditions de la subvention en question !

les subventions : une source de financement au terrain bourbier

4ème Source de Financement : Les Quasi-Fonds Propres

Les quasi-fonds propres sont un moyen de financement hybride qui n’est considéré ni comme du capital, ni comme de la dette. Il s’agit d’une source de financement un peu moins commune.

Ces quasi-fonds propres peuvent être des :

  • obligations convertibles : obligations converties en actions/capital social si elles ne peuvent être remboursées
  • emprunts participatifs : prêts, donc dettes mais considérés comme des fonds propres sans pour autant modifier le montant ou la répartition du capital social afin de renforcer les fonds propres de la société pour ne pas dégrader son taux d’endettement et ainsi gagner la confiance des banques ou des organismes de crédits pour aller chercher de la dette par exemple (je sais, cette notion est un peu complexe à comprendre…)
  • dettes subordonnées ou encore mezzanines : dettes dont le remboursement n’est pas prioritaire par rapport à d’autres dettes, notamment celles dites « senior »

Ces fonds sont généralement apportés par des institutions financières et investisseurs. Ils figurent au passif du bilan de la société. Ces moyens de financement répondent à des besoins bien spécifiques qui apparaissent en général, plusieurs années après la création d’une société.

Ils sont très utiles et efficaces, à condition d’être bien renseigné sur le sujet.

D’un point de vue comptable, les quasi-fonds propres seraient intégrés entre les capitaux propres et les dettes de la société.

les quasi-fonds-propres apparaissent au passif du bilan comptable

Je sais, ce sont des notions un peu plus compliquées à comprendre, mais pas d’inquiétude. L’essentiel dans un premier temps est de bien avoir en tête la modélisation de base de nos 3 premières sources de financement pour ne pas que votre comptabilité devienne un véritable casse-tête chinois.

À votre tour maintenant !

Ce dernier cours touche à sa fin. Nous venons de voir les 4 différentes sources de financement pour une entreprise avec un oeil de comptable. Si nous avons fait le choix d’orienter ce cours d’un point de vu comptable, c’est parce qu’il est essentiel de savoir comment ces modes de financement se retranscrivent dans votre comptabilité.

Et vous, comment avez-vous financé votre projet ? 🙂

On a hâte de vous lire et d’échanger avec vous dans les commentaires de cet article !

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Thomas Meyer

Head of SEO chez LiveMentor