Emilie Maréchal : créatrice de Lili et la vie

Photo de Aurélie Surget

Aurélie Surget

Illustration de Emilie Maréchal : créatrice de Lili et la vie

Aujourd’hui on vous présente Emilie Maréchal. Après avoir fait la partie française du Chemin de Compostelle, elle veut partager sa passion pour la lecture. Venez découvrir son histoire ! 

Alors Emilie, qui es-tu ?

Bonjour, je suis Emilie MARÉCHAL, la créatrice du média Lili et la vie.

Lili et la vie est un side project que je développe en parallèle de mon job.

Depuis 2 ans, j’accompagne le lecteur vers sa prochaine lecture sur Instagram et sur mon blog. Je propose des chroniques de livres éclectiques et des interview de lecteurs à travers un nouveau podcast : Lili et la vie lecture éclectique.

Après avoir marché sur la partie française du Chemin de Compostelle, j’ai eu envie de raconter mon aventure. Après avoir épuisé ce sujet, je partage ma passion de la lecture. La lecture permet de vivre mille vies tout en restant sur son canapé. C’est voyager, rêver, apprendre, découvrir …

Quel objectif cherchais-tu à atteindre avec LiveMentor ?

En suivant la formation Marketing digital, mon objectif était multiple.

Le principal était de continuer à développer ma communauté sur Instagram et d’augmenter mon trafic sur le blog.

J’ai réussi à atteindre une communauté de 2000 abonnés sur instagram en tatonnant.  Je restais en distance sans trop me dévoiler. J’ai eu envie d’aller plus loin et d’utiliser les fonctions que je connaissais moins comme les story ou les live tout en étant dans un plus grande interaction.

Pour le blog, mes articles Compostelle fonctionnent bien, mais pas ceux de la lecture. Je voulais comprendre pourquoi ?

En m’inscrivant à cette formation, mes objectifs personnels étaient de m’appuyer sur une formation reconnue pour valider mes pratiques et acquérir de nouvelle connaissances : référencement, story instagram, facebook…

J’avais aussi envie d’échanger sur mon projet avec un professionnel et extérieur à mon entourage.

Enfin le dernier objectif était l’actualité du moment : avoir un projet de formation pendant le confinement du printemps 2020 pour m’extraire de la période angoissante que l’on vivait : profiter de cette période sans vie sociale pour booster mon projet et être concentré sur un projet positif.

Quelles difficultés as-tu rencontrées ?

Le manque de temps !

Toute la période de confinement a été propice pour bien avancer car j’ai eu du temps pour regarder les cours et les tribus, ainsi qu’avancer sur mes objectifs fixés avec ma mentor.  Je n’avais plus les transports et la fatigue, je gagnais en disponibilité.

À partir du déconfinement et des vacances, j’ai ralenti. En effet, j’ai eu moins de temps dans mon quotidien. J’ai privilégié de voir mes proches au lieu d’avancer sur mon projet.

La culpabilité a parfois été lourde à porter entre vie sociale et avancement sur mon projet. La charge mentale est parfois envahissante.

Avec un side project, il est nécessaire de bien s’organiser car le temps est limité.

Comment as-tu vécu ton expérience LiveMentor ?

J’ai adoré mon expérience Livementor ! Intense et rapide ! Les mois avec ma mentor sont passés trop vite.

J’ai bien accroché à l’idée du projet skate board. De passer à l’action, tester et voir le résultat. D’arrêter de mentaliser ou de rêver. D’être dans le concret. J’ai pu mettre en place des actions concrètes et de voir les effets : guide des meilleurs livres lus, vide bibliothèque qui me permet de rencontrer mes abonnées parisiennes, mettre ma photo sur mon feed et de lire des réactions très enthousiaste, de développer mon idée de podcast …

Pendant la formation, j’ai aussi passé pas mal de temps à m’ouvrir à d’autres sujets que le marketing digital en regardant des tribus sur différents sujets : le bullet journal, la plateforme de marque…

L’expérience Livementor est bien plus qu’une formation.

En revanche, je n’ai pas encore pris le temps de m’investir dans le groupe Facebook.

La formation est finie mais j’en ai encore sous le pied ! C’est top !

Qu’est-ce qui t’a le plus plu ?

Au départ, le feeling n’est pas passé avec mon premier mentor. Au point téléphonique de suivi (15 jours après le début de la formation), j’ai expliqué mes réticences et j’ai demandé à changer de mentor. Je ne voulais pas vivre l’expérience à moitié et être sur la réserve avec mon mentor. Ma demande a été entendue. J’ai apprécié être écoutée par l’équipe Livementor. Je ne voulais pas gâcher cette  possibilité d’être accompagnée étroitement pendant 3 mois.

J’ai beaucoup échangé avec ma deuxième mentor. Elle était présente, répondait à toutes mes questions et mes doutes. Elle était à sa juste place sans entrer dans mon projet. Respectant mes décisions. J’ai eu le sentiment d’être soutenue et en confiance. Le combo pour avancer !

Quelles sont les prochaines étapes dans le développement de ton projet ?

Les prochaines étapes sont de consolider mes axes de développement :

  • Faire connaître le podcast que je viens de mettre en ligne,
  • Travailler sur ma plateforme de marque en connaissant mieux mes abonnés,
  • Travailler sur mon référencement,
  • Développer des partenariats.

Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui se lance dans l’aventure entrepreneuriale ?

Mon projet est un projet passion non rémunérateur. Par conséquent ce n’est pas une aventure entrepreneurial au 1er degré. Cependant il me permet de vivre les différentes étapes sans prendre de risque financier important.

Mon unique conseil : passe à l’action ! C’est le seul moyen de savoir si ça te plaît !

Faire une formation chez Livementor permet aussi de savoir si tu as les qualités ou non pour être entrepreneur. C’est un bon test avant de se lancer ou pas ! C’est aller au delà de la soif de liberté !

Pour aller plus loin…

Vous avez aimé le portrait d’Emilie ? N’hésitez pas à découvrir celui de Claire Lorentz-Augier et de Amélie Charcosset qui ont un parcours similaire.

Pour retrouver tous nos portraits d’entrepreneurs, c’est par ici.

Inscrivez-vous à la newsletter Boussole

La newsletter la plus suivie en France par les entrepreneurs – partagée toutes les semaines à plus de 200 000 porteurs de projet.