25 idées pour générer un revenu passif en parallèle de son activité
Avoir un revenu passif, c’est disposer d’un véritable atout pour garantir sa sécurité financière. Les personnes qui disposent de sources de revenus « en continu » sont en effet mieux protégées des aléas de l’entreprenariat, pour la bonne raison qu’elles ont plusieurs cordes à leur arc. C’est aussi un précieux moyen de libérer du temps pour se consacrer à ses passions, à sa famille et à la réalisation de ses projets.
Chez LiveMentor, nous encourageons les entrepreneurs et entrepreneuses que nous accompagnons à développer leurs talents de façon à résister aux crises ou passages à vide, à travers la diversification de leurs activités. Les revenus passifs constituent à ce titre une ressource intéressante sur laquelle se pencher.
Il ne s’agit bien sûr pas d’alimenter le fantasme de l’argent « automatique », ni celui de s’enrichir en un claquement de doigts – nous l’avons cherchée mais cette formule magique ne semble pas exister. Ce qui existe en revanche bel et bien, ce sont des méthodes progressives et réellement efficaces, que nous avons vu être appliquées avec succès par les centaines d’entrepreneurs passés par nos formations, dans des secteurs d’activité très divers.
Cet article propose 25 idées de revenus passifs qui ont fait leurs preuves, pour vous aider à choisir celles qui pourraient vous aider à augmenter vos rentrées d’argent en parallèle de votre activité.
Bonne lecture !
Sommaire :
Qu’est-ce qu’un revenu passif ?
I. Le revenu passif par la location d’espace
2. La location de son appartement
4. La publicité sur sa voiture
II. Le revenu passif par l’investissement
7. L’investissement dans les startups
III. Le revenu passif par une approche commerciale
11. L’achat-revente d’objets de collection
12. L’achat-revente de noms de domaines
13. La vente de liens (backlinks)
IV. Le revenu passif par la monétisation d’un talent
14. La programmation d’une application ou d’un outil
15. La création de produits graphiques
16. Des royalties sur des photos, sons, vidéos
17. La vente de formations en ligne
19. La diffusion d’une newsletter
V. Le revenu passif par des partenariats
Qu’est-ce qu’un revenu passif ?
Avant de se plonger dans ces différentes sources, commençons par une rapide définition. Tout d’abord, un revenu actif est un revenu que l’on obtient en échange de sa force de travail. Il s’agit du mode de rémunération le plus répandu, comme le salariat. Le problème : lorsque vous arrêtez de travailler, vos revenus cessent.
À l’inverse, un revenu passif continue à vous faire percevoir une rémunération une fois votre travail terminé. Il ne s’agit donc pas de gagner de l’argent sans rien faire, mais de fournir un investissement de départ, en argent, en temps ou en effort – et souvent les trois à la fois – pour dégager par la suite un bénéfice régulier et durable.
Sus aux idées reçues
Il n’est en aucun cas nécessaire de quitter son emploi pour se lancer dans l’entrepreneuriat. La plupart de celles et ceux qui suivent une formation LiveMentor pour créer leur entreprise ont pour objectif la mise en place d’un revenu complémentaire, pas la démission.
Ce point précisé, il faut évoquer deux notions importantes. D’abord, la notion de systèmes : le but est d’avoir un ratio temps passé / chiffre d’affaires généré qui augmente progressivement d’année en année. En parallèle de la notion de systèmes, il y a celle d’effet cumulé, décrite par le coach américain Darren Hardy dans son livre du même titre : plus les changements sont répétés, plus leurs effets se cumulent de façon exponentielle – c’est aussi ce qu’on appelle l’effet boule de neige.
En voici quelques exemples :
- Faire trente minutes de sport chaque jour vous donnera plus de tonus et de force après quelques semaines.
- Mettre quelques dizaines d’euros de côté chaque mois, et les placer de manière intelligente, aboutira à plusieurs centaines d’euros d’intérêt au bout de quelques années.
- Consacrer du temps à écrire chaque mois des articles sur le blog de votre entreprise ou à créer de nouvelles vidéos pour votre chaîne YouTube augmentera significativement la fidélité de votre audience.
Nous vivons dans une société de l’instantanéité, qui nous encourage à rechercher un profit immédiat ; or le développement d’un revenu passif requiert de la patience, et surtout de la persévérance pour aller chercher les effets cumulés. Bonne nouvelle : nous en sommes tous cabale, même à petite échelle.
Voyons comment !
Exemple de calcul
Un exemple simple permet de comprendre la puissance de ces deux notions appliquées au revenu passif. En parallèle d’un emploi salarié, générer 300 € de plus par mois devient 3 600 € par an, soit 18 000 € au bout de 5 années. Et vous pouvez imaginer le résultat si cette somme est placée intelligemment, par exemple sur des fonds indiciels cotés (les fameux ETF)
I. Le revenu passif par la location d’espace
Lorsque l’on parle de revenu passif, on pense souvent à l’immobilier. Il s’agit en effet d’un domaine de prédilection, mais qui implique tout de même un investissement de départ.
1. L’investissement locatif
Il existe plusieurs formes d’investissement locatif. La location classique est la plus courante : vous prenez un locataire – voire des locataires, si vous optez pour une mise en colocation – et obtenez un revenu mensuel. Pour peu que vos locataires cherchent une solution de longue durée, vous pouvez convenir ensemble de la durée et d’un bail renouvelable, ou opter pour un format plus court, par exemple à destination d’étudiants. Passer ou non par une agence est une question de choix : s’il peut être tentant de faire des économies en assurant soi-même la gestion, une agence apporte des garanties en cas de dégradation ou de loyers impayés qui peuvent faire une vraie différence.
Il existe également des techniques d’achats-reventes d’appartement ou de maison : acheter un bien immobilier, effectuer des travaux de rénovation afin de lui faire prendre de la valeur, puis le revendre et encaisser la plus-value. La difficulté est évidemment de faire une bonne affaire. Mais, en commençant par faire des visites de biens, par exemple le week-end, vous devriez commencer à vous familiariser avec le marché de l’immobilier, et petit à petit à identifier ceux avec du potentiel.
2. La location de son appartement
À la différence de l’investissement locatif, il s’agit cette fois de louer votre résidence principale, en passant par exemple par la célèbre plateforme locative Airbnb. Si des mises en location de courtes durées demandent une certaine organisation logistique, elles permettent de tirer profit de son appartement ou de sa maison au cours de vacances ou de déplacements.
3. La location de sa voiture
Il existe des applications, comme GetAround, qui proposent aux propriétaires de voitures de les louer lorsqu’ils ne s’en servent pas. S’il existe bien sûr un risque de dégradation de votre véhicule, le laisser trop longtemps sans rouler l’use également, et vous vous assurez ainsi de rentabiliser au maximum votre achat.
4. La publicité sur sa voiture
C’est une autre forme de location de sa voiture, puisqu’il s’agit de permettre à une marque de mettre de la publicité sur votre carrosserie, en contrepartie d’un revenu mensuel, et généralement assorti de votre engagement à rouler un certain nombre de kilomètres.
5. La location de parkings
Plus à la portée des petits portefeuilles que l’achat d’un logement locatif, la stratégie de l’achat de parkings permet de générer rapidement un revenu passif, car vous avez toutes les chances de trouver preneur, en particulier dans les grandes villes, comme Paris, où garer son véhicule relève du casse-tête. Il est fréquent de voir des investisseurs se prendre au jeu et se trouver au bout de quelques années à la tête d’un parc immobilier d’une dizaine de parkings.
II. Le revenu passif par l’investissement
C’est une source de revenu passif privilégiée pour tous celles et ceux qui ne disposent pas – encore – du capital nécessaire pour un investissement immobilier. Le placement financier permet d’optimiser son épargne et d’améliorer ses revenus chaque mois, à condition bien sûr de faire des placements avisés. Vous pouvez ainsi décider d’y investir dans un premier temps 10 % de vos revenus mensuels, et en placer par exemple, la moitié en bourse et l’autre dans des cryptomonnaies ou du crowdlending.
6. La bourse
L’investissement boursier consiste à acheter des actions pour percevoir des dividendes réguliers. Une mise de départ est nécessaire, mais elle n’a pas besoin d’être importante. Pour un débutant, mieux vaut d’ailleurs commencer par de petits placements, le temps de se familiariser avec le monde de la bourse et de gagner en expertise, car investir comporte un risque. Si le cours de l’entreprise dans laquelle vous avez investi augmente, vous gagnez de l’argent… mais s’il baisse, vous en perdez.
Pour limiter les risques, la sagesse consiste à se constituer un portefeuille d’investissements diversifiés, et c’est la raison pour laquelle il peut être intéressant d’investir dans les trackers ETF. Il s’agit d’indices boursiers qui représentent en fait plusieurs actions – dits « packages » – indexées sur certains indices, comme le Dow Jones ou le Nasdaq. Les ETF représentent donc des placements plus sûrs, car ils ne reposent pas sur une seule entreprise. Pour faire vos premiers pas en bourse, privilégiez les plateformes de trading qui ont fait leurs preuves, comme par exemple eToro. Au début, il sera normal de ne générer que de petits profits mais, conformément au principe d’effet cumulé évoqué plus haut, ceux-ci devraient augmenter petit à petit.
7. L’investissement dans les startups
Investir dans une startup reste probablement l’investissement qui connaît les multiples les plus élevés. Néanmoins, cela reste un investissement risqué car rien ne vous garantie de récupérer votre argent suite à un événement financier comme une levée de fonds. Mais le plus complexe ici reste de trouver la bonne startup dans laquelle investir. Souvent, cela se fait par votre propre réseau.
Mais aujourd’hui, il existe des sites comme le Blast Club ou encore Crowdcube qui permettent à un particulier d’investir dans une startup sans forcément entrer avec un ticket de 20 000 euros (qui est souvent le minimum requis).
8. Les cryptomonnaies
Apparues en 2008, avec le bitcoin, les cryptomonnaies constituent un investissement qui suscite à la fois convoitise et méfiance – ce qui est compréhensible lorsque l’on voit la forte volatilité des cours de ces monnaies virtuelles, qui peuvent prendre ou perdent 20 % de leur valeur dans une même semaine. Cependant, à moyen terme, des cryptomonnaies suivent majoritairement des tendances haussières, et sont de plus en plus reconnues par les acteurs traditionnels de la finance ; banques, fonds d’investissement, et même certains gouvernements. Surtout, ces actifs virtuels présentent des opportunités de rendement incomparables.
Prudence, tout de même : comme les autres formes d’investissement, les cryptomonnaies requièrent de la patience et un suivi attentif. Nous vous recommandons de commencer par acheter un petit montant de cryptomonnaies (en vous concentrant sur les plus solides qui restent abordables, comme ethereum ou solana), le même montant chaque mois, et de ne pas céder à l’envie de vendre dès que le cours baisse. Les chutes brèves sont normales et ne doivent pas pousser à céder ses valeurs ; mais une dévaluation progressive et constante est un signal d’alerte. Tout comme pour la bourse, choisissez des plateformes fiables pour investir : on peut ainsi citer la référence Coinbase, crypto.com ou encore la néo-banque anglaise Revolut.
9. Le crowdlending
Une troisième possibilité consiste à prêter de l’argent à des entreprises : c’est le crowdlending. Cet investissement fonctionne sur le même principe que le crowdfunding – le financement participatif, qui permet de soutenir de jeunes projets en pré-achetant leurs produits par le biais de sites comme Ulule ou KissKissBankBank. Avec le crowdlending, il s’agit cette fois d’aider une entreprise à se développer en lui faisant un prêt qui sera progressivement remboursé. Les intérêts tournent habituellement autour de 1 à 2 %, mais certains projets plus audacieux peuvent proposer du 5 %. En France, les sites les plus réputés sont lesentreprêteurs, We share bonds ou encore October.
III. Le revenu passif par une approche commerciale
10. L’e-commerce
Les projets de e-commerce sont passionnants, et inspirent chaque jour des créateurs d’entreprises à se lancer dans l’aventure. Quoi de plus inspirant que de voir des entrepreneurs créer leur plateforme de vente en partant de rien et, par leur travail et leur sens du commerce, atteindre plusieurs dizaines voire plusieurs centaines de milliers d’euros de chiffre d’affaires ?
Si un site de e-commerce varie en fonction de son marché, les grands principes consistent invariablement à :
- Créer son site, en se concentrant sur l’identité visuelle et l’expérience client. Des plateformes de création, comme Shopify, vous aideront dans la première étape. Il faudra ensuite choisir les fabricants et fournisseurs avec lesquels vous avez envie de travailler. Grâce au e-commerce, vous ne serez pas contraint de gérer les stocks vous-même : vous pouvez concevoir votre plateforme de façon à ce que le produit aille directement du fabricant au domicile du client.
- Développer sa clientèle, par des stratégies de marketing et/ou de publicité – même si le bouche-à-oreille reste la meilleure des ambassadrices : elle prouve que votre modèle plaît. Pour cela, il faudra vous assurer de la qualité et de la provenance de vos produits : le rôle de la confiance est clé pour entreprendre sur internet, et il est essentiel de développer une activité éthique et transparente. Mais une fois votre site lancé, si votre secteur est porteur, vous avez des chances de générer de beaux revenus passifs. Se réveiller le matin et recevoir une notification indiquant qu’une vente a été réalisée pendant son sommeil est une expérience très gratifiante !
Pas d’inquiétude !
Ces compétences s’apprennent. Chez LiveMentor, nos mentors ont accompagné nombre de jeunes entrepreneurs, dont vous pourrez vous inspirer des exemples de réussites sur la page de notre formation E-commerce.
11. L’achat-revente d’objets de collection
De nombreux objets prennent de la valeur avec le temps, et se revendent ensuite au prix fort à des collectionneurs : vins, liqueurs, cartes Pokemon, timbres, figurines… Vous pouvez, par exemple, investir dans l’une des collections émises chaque année par la Monnaie de Paris, puis les revendre par la suite sur une place d’enchères.
12. L’achat-revente de noms de domaines
Cette pratique consiste à acheter à bas prix des noms de domaine expirés de site internet (les fameux NDD), que des entreprises voudraient racheter dans un proche futur. Il suffira alors de les revendre avec profit. Au commencement d’internet, au début des années 90, des investisseurs au nez creux ont ainsi acheté des noms de domaine comme auchan.fr, darty.fr, pour les revendre aux enseignes quand celles-ci se sont lancées dans le e-commerce. Aujourd’hui encore, il existe des noms de domaine achetables puis revendables aux enchères, par exemple sur le site GoDaddy ou DotMarket. Mais attention, tout de même, à ne pas causer de tort à de petites entreprises qui n’auraient simplement pas encore les moyens de protéger leur nom de domaine. Si vous voyez une opportunité, notamment dans les domaines nichés, alors achetez le nom de domaine expiré, travailler son référencement naturel (SEO) et revendez-le avec une plus-value.
13. La vente de liens (backlinks)
Vous avez un blog qui connaît un peu de trafic ? Alors monétisez-le en vous inscrivant sur des plateformes d’achats de backlinks comme PaperClub ou NextLevel. Ces sites permettent de mettre en relation des annonceurs qui veulent mettent en avant un contenu ou booster son référencement naturel avec des éditeurs de sites / blogs. Plus votre autorité de domaine sera élevée, plus le prix des placements de liens le sera.
IV. Le revenu passif par la monétisation d’un talent
Voici des sources de revenu passif qui ne demandent pas d’investissement financier, mais plutôt en temps et en effort. Ils reposent sur la valorisation d’une ressource que vous possédez déjà : votre talent.
14. La programmation d’une application ou d’un outil
Il s’agit d’un revenu passif principalement destiné développeurs web. Vous pouvez par exemple créer des applications pour mobile, ou des outils de type plugin. Puis, soit les vendre, soit les mettre en ligne avec une offre freemium ; c’est-à-dire gratuite mais avec certaines fonctionnalités payantes. C’est le cas de nombreux jeux téléchargeables sur mobile, ou d’applications plus professionnelles comme Thruuu, un outil d’analyse des pages de recherche Google. Cependant, avec l’arrivée de l’intelligence artificielle et du no code, il est désormais possible de développer une application sans avoir besoin de coder.
15. La création de produits graphiques
Si vos talents sont plutôt graphiques, un bon moyen de générer des revenus passifs est d’allier votre sens artistique à une approche de e-commerce. Vous pouvez ainsi créer des produits digitaux et les mettre en vente sur une plateforme en ligne, dont la plus connue est sans doute Etsy. Il peut par exemple d’agir de :
- Cartes de vœux
- Art mural, posters, affiches
- Calendriers, organisateurs
- Décorations
- Invitations, lettres
16. Des royalties sur des photos, sons, vidéos
Une autre possibilité pour celles et ceux qui ont une fibre artistique est de vendre des photos et vidéos sur des plateformes en ligne comme Fotolia, Unsplash ou Shutterstock. Les auteurs sont rémunérés par une commission sur chaque vente. Pour les musiciens, il y a la plateforme Epidemic sounds, qui reverse un pourcentage sur l’utilisation des musiques et/ou des samples. À noter que les rémunérations sont relativement faibles, mais cela reste un moyen intéressant de se faire connaître en tant qu’artiste.
17. La vente de formations en ligne
On le connaît bien celui-ci chez LiveMentor ! Si vous disposez d’une expertise particulière, il est aujourd’hui possible de la commercialiser sous forme de formations en ligne. Si cette activité constitue majoritairement un complément de revenu en parallèle d’un emploi, pour certaines personnes la formation en ligne peut permettre de réaliser un chiffre d’affaires suffisant pour s’y consacrer à plein temps. La qualité du contenu et de l’accompagnement que vous fournirez sera évidemment clé pour fédérer une audience.
Le choix de la niche est également important. Mieux vaut ne pas viser trop large : une formation de yoga généraliste aura plus de mal à percer qu’une formation destinée spécifiquement aux femmes enceintes. Pour choisir votre niche, il peut être intéressant de faire une petite étude de marché en regardant ce qui existe déjà. Si vous n’identifiez aucun concurrent, il se peut que ce thème ne soit pas porteur… ou que vous ayez eu un éclair de génie.
Ici, pas d’enjeu de stockage. Tout le contenu des cours — vidéos, PDF, exercices — est hébergé sur internet ; c’est pourquoi nous vous recommandons de passer par une plateforme, comme Teachable, Podia ou encore Didacte, qui facilitent l’opération moyennant une petite commission. En parallèle de la création de votre formation payante, il vous faudra en faire la promotion. Vous pouvez par exemple mettre certains contenus en libre accès sur les réseaux sociaux – Instagram, YouTube, etc. Ces contenus gratuits vous permettront de rassembler progressivement une audience, et de constituer une liste d’abonnés à qui adresser des offres promotionnelles.
Pour aller plus loin, nous vous invitons à découvrir notre formation dédiée aux formateurs indépendants.
18. L’écriture d’un ebook
Si vous avez une expertise et l’envie d’user de votre plume, une autre possibilité est bien sûr de rassembler votre savoir dans un ebook et de le mettre en vente en ligne, sur Amazon ou d’autres plateformes, tel Youscribe. Pour augmenter vos chances d’être lu, il faut, comme pour la formation, choisir soigneusement votre niche, ainsi que, dans le cas du ebook, préférer un format relativement court et un prix suffisamment bas pour inciter les curieux à acheter sans trop hésiter.
Exemple
Thibault Gouttier, l’un de nos mentors, cumule les casquettes. En parallèle de son accompagnement aux entrepreneurs, il est hypnothérapeute et a publié un ebook, Petit Guide du Langage Hypnotique, qui connaît un franc succès. Il est fréquent pour Thibault de dépasser le seuil des 500 € de revenu passif chaque mois grâce à son ebook.
19. La diffusion d’une newsletter
Une autre façon de monétiser votre plume consiste à créer une newsletter autour d’un thème que vous maîtrisez, et à la diffuser auprès d’une audience prête à payer pour la recevoir. La plateforme Substack permet de mettre facilement en place un système d’abonnement mensuel, et c’est ce qui a permis à Yoann Lopez, notre mentor de la formation finances personnelles, de générer 150 000 € de chiffre d’affaires par an avec Snowball, sa newsletter de conseils financiers.
20. L’émission d’un podcast
Si vous préférez lancer votre podcast et partager votre expertise au format audio, c’est tout à fait possible. Cela nécessite bien sûr du matériel d’enregistrement et une formation au montage, mais les podcasts ont le vent en poupe, et pour peu que vous arriviez à créer des formats d’épisodes à la fois intéressants et ludiques, vous devriez arriver à fédérer progressivement une communauté. Une façon de monétiser ce travail consiste à faire des partenariats, ou à être sponsorisé par une entreprise qui y trouve une façon originale de faire sa promotion. C’est ce qu’à fait notre Responsable SEO Thomas Meyer en créant le podcast SEO « Position 0 » qui est sponsorisé par une plateforme de Netlinking.
V. Le revenu passif par des partenariats
Ces cas s’adressent à celles et ceux qui, à travers une activité en ligne, ont déjà réussi à fédérer une communauté et veulent à présent monétiser leur audience.
21. La publicité en ligne
La publicité en ligne est un bon moyen de monétiser une activité de création en ligne, comme par exemple un blog ou une chaîne YouTube. L’investissement en temps et en travail a été fait, vous disposez d’une audience demandeuse de nouveaux contenus : félicitation, c’est un beau cap atteint. À présent, il devient possible pour vous d’obtenir une rémunération en échange de la diffusion de publicités sur votre blog ou dans vos vidéos.
22. Le sponsoring
Voici une stratégie alternative à la publicité, et qui concerne souvent les créateurs de contenu d’Instagram ou de TikTok. Lorsque vous serez parvenu à fédérer une communauté, des entreprises pourront vous solliciter pour placer leurs produits ou vous proposer des partenariats – et rien ne vous empêche de démarcher vous-même les entreprises dont l’image vous plaît, ou dont les produits méritent d’être valorisés. C’est typiquement le cas des influenceurs, qui commencent à intéresser les marques à partir de plusieurs dizaines de milliers d’abonnés sur Instagram. De plus en plus, ce type de contrat s’ouvre au marché B2B. De nombreux freelances font désormais la promotion d’outils professionnels sur des plateformes comme Twitter ou LinkedIn. Monétiser un compte TikTok n’a jamais été aussi simple qu’en 2023 !
23. Le marketing d’affiliation
Il s’agit d’un système de partenariat, qui permet de percevoir des revenus en faisant la promotion des produits ou services d’une marque. Chaque fois qu’une personne passe un achat chez votre partenaire suite à votre recommandation – généralement via un lien affilié – vous touchez une commission. Gardez tout de même à l’esprit que vous engagez votre crédibilité vis-à-vis de votre communauté : charge à vous, donc, de choisir de promouvoir une marque qui correspond à vos valeurs pour faire du marketing d’affiliation.
24. L’apport d’affaires
Vous avez des clients qui vous contactent mais vous ne pouvez pas les prendre. Alors proposez ces missions à vos contacts en l’échange de 10 à 15% de commissions. Par exemple, si vous êtes Consultant SEO en freelance, vous savez qu’une mission implique généralement de la rédaction. Il suffit alors de constituer un pôle de rédacteurs web que vous placez sur vos propres missions pour les monétiser sans y dépenser de l’énergie.
25. Une plateforme d’adhésion
Cette dernière source de revenus passif repose sur le concept du mécénat participatif, et concerne le plus souvent les artistes – musiciens, vidéastes etc. Tout dépendra de l’engagement de votre communauté et de son envie de vous soutenir financièrement, en mettant par exemple en place un don mensuel de 1, 2 ou 3 €. Les plateformes les plus connues de ce type sont Patreon et Tippee.
Apprendre à se créer des revenus passifs
Pour celles et ceux qui voudraient bénéficier d’une explication approfondie sur les revenus passifs, Alexandre Dana, co-fondateur de LiveMentor, a réalisé une vidéo à ce sujet.
Les sources de revenus passifs sont aussi nombreuses que variées, nous l’avons vu. Mais toutes ont en commun un investissement, qu’il se fasse en argent, en temps ou en travail.
C’est la raison pour laquelle tous les entrepreneurs qui ont réussi à développer avec succès leur activité parlent de l’importance d’investir avant tout en soi : en ses connaissances et compétences ; qu’il s’agisse d’investir en une formation financière approfondie ou en sa fibre artistique ou technologique pour la monétiser.
C’est ainsi que, à force de persévérance, vous récolterez les fruits de votre travail.
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