DEVENIR CONSULTANT FREELANCE EN 2024 : LE GUIDE COMPLET

Vous avez des compétences dans un domaine et vous rêvez d’indépendance professionnelle ? Vous n’êtes pas seul. En 2024, plus de 1,5 million de personnes ont choisi la voie du freelancing, attirées par la perspective de liberté. Alors, si vous souhaitez mettre vos connaissances au service des entreprises, tout en conservant une totale autonomie, pourquoi ne pas envisager de devenir consultant freelance ?

Le rôle d’un consultant est d’apporter son expertise à des organisations qui en ont besoin, de manière ponctuelle ou pour des projets de plus longue durée. Ce qui le caractérise ? Son regard neuf et objectif. Les sociétés font souvent appel à leurs services pour obtenir une vision nouvelle, débarrassée des dynamiques internes. En tant que consultant, vous proposez des solutions sur mesure et adaptées aux exigences de vos clients. Vous devenez ainsi un partenaire capable de faire la différence dans la réussite de leurs idées.

Être consultant freelance, c’est la promesse d’une plus grande indépendance professionnelle. Vous choisissez vos missions, vos horaires, votre secteur et surtout vos clients. Vous dites stop aux contraintes rigides du salariat tout en continuant à collaborer avec des entreprises. C’est un « combo gagnant ». Mais ce n’est pas tout : cette activité donne l’occasion de travailler sur des projets et des problématiques diversifiées. Une activité stimulante intellectuellement et riche humainement. Alors, si cet aperçu vous a convaincu, voici ce que vous pourrez découvrir en détail dans cet article : 

• Les compétences pour réussir en tant que consultant freelance : sens du contact, écoute et réactivité.
• Les formations qui donnent accès à ce métier : reconversion, savoir-faire, diplômes (bac +5).
• Les principales missions d’un consultant indépendant et les secteurs d’activité qui recrutent.
• Des astuces pratiques pour bien démarrer sa vie entrepreneuriale : trouver ses clients, fixer ses tarifs, etc.

Vous pouvez également jeter un oeil à notre liste des nouveaux métiers pour freelance.

Bonne lecture !

1. Qu’est-ce qu’un consultant ? 

Une consultante ou un consultant est un partenaire stratégique capable d’apporter une nouvelle perspective à une entreprise qui fait face à une problématique ou qui souhaite mener à bien un projet. Mais attention, il ne s’agit pas seulement d’avoir des connaissances. Un consultant freelance, c’est avant tout un professionnel qui maîtrise un savoir-faire que l’entreprise n’a pas forcément en interne et qui sait le mettre en œuvre. Son objectif : trouver les meilleures solutions pour son client !

Une consultante ou un consultant peut être généraliste ou se spécialiser dans un domaine comme le marketing ou les ressources humaines. Peu importe son choix, son rôle reste le même : aider les organisations ou les administrations à y voir plus clair et à avancer dans la bonne direction. 

Ce qui plaît particulièrement dans ce métier : la diversité des missions ! Un jour, la consultante ou le consultant peut être en train de réaliser un audit, et le lendemain, une analyse de marché pour le lancement d’un produit. 

2. Quelles sont les principales missions et responsabilités d’un consultant ? 

Une ou un consultant indépendant est chargé d’apporter une nouvelle dynamique à une entreprise ou une administration. Il ne fait pas partie de l’équipe à temps plein, mais il joue un rôle ponctuel en fournissant son expertise. En tant que prestataire de services intellectuels, il se concentre sur l’analyse, la stratégie et la mise en œuvre de solutions sur mesure.

Les trois temps forts du métier de consultant :

• Temps 1 : Analyser la situation de l’entreprise et établir un diagnostic

La première étape pour le consultant est de comprendre le quotidien de l’entreprise. D’une certaine manière, il agit comme un inspecteur pour percevoir les problématiques ou optimiser un dossier. Cela passe par des entretiens, des analyses de données et une observation des processus internes. 

• Temps 2 : Élaborer un plan d’action sur mesure

Une fois qu’il a établi son diagnostic, il doit proposer des solutions concrètes. Toutefois, ce plan d’action doit toujours respecter les valeurs, les moyens financiers et humains de l’entreprise. C’est une étape importante pour laquelle cette ou ce professionnel doit faire preuve de créativité tout en restant réaliste. 

• Temps 3 : Planifier et mettre en œuvre les actions 

La direction a validé le plan ? Place à l’exécution ! La consultante ou le consultant doit programmer les différentes étapes du projet et s’assurer que tout se déroule sans accroc. C’est à ce moment-là que l’idée devient réalité. 

Les responsabilités annexes : 

• Définir les moyens nécessaires à mettre en place : Il ou elle doit évaluer les ressources humaines, matérielles et financières indispensables à la réussite du projet. Rien n’est laissé au hasard : tout doit être calibré pour que le plan fonctionne dans les meilleures conditions.

• Définir des indicateurs de performance : La consultante ou le consultant doit fixer des KPI (indicateurs clés de performance) qui permettront de suivre l’évolution du dossier et de mesurer son succès. 

• Imaginer plusieurs scénarios ou propositions : Parce que la première solution n’est pas toujours la meilleure, la consultante ou le consultant doit anticiper plusieurs options possibles. Cela permet de s’adapter rapidement si des obstacles imprévus surgissent.

• Mettre en place le scénario : Une fois le bon plan choisi, il faut passer à l’action ! La consultante ou le consultant organise et supervise la mise en place du projet, tout en restant disponible pour ajuster les détails en cours de route.

• Collaborer avec les équipes internes : La réussite d’un projet dépend aussi de la bonne communication avec les organisations déjà en place. La consultante ou le consultant doit travailler main dans la main avec elles pour garantir sa mise en œuvre.

• Présenter et préparer des rapports : À chaque étape du dossier, il ou elle doit rendre des comptes à l’entreprise en présentant des rapports. Ces documents permettent de faire le point sur son avancée et d’ajuster le tir si nécessaire.

Dans quels secteurs travaille un consultant freelance ?

En 2024 et pour les années à venir, certains secteurs se démarquent particulièrement. Ils sont en pleine expansion, car ils répondent aux enjeux actuels, comme l’écologie ou les nouvelles technologies. Si vous cherchez à vous lancer en tant que consultant, voici ceux à surveiller de près. 

• Le numérique et les nouvelles technologies : Avec la transformation digitale des entreprises et l’émergence de l’intelligence artificielle, la blockchain ou la cybersécurité, les consultants ont un rôle stratégique à jouer. Ils les accompagnent dans l’amélioration de leur sécurité, dans l’optimisation de leurs solutions numériques comme les consultants CRO ou les consultants en marketing digital. 

• La santé et le bien-être : La crise sanitaire a montré combien la santé mentale et physique des employés est nécessaire à la performance des entreprises. En 2024, les consultants spécialisés dans le bien-être sont très recherchés pour créer des programmes de prévention, accompagner les organisations dans la mise en place d’initiatives de bien-être ou améliorer les conditions de travail. 

• Les ressources humaines et le développement durable : Les organisations cherchent de plus en plus à repenser leur modèle économique afin d’y intégrer des valeurs plus éthiques. Le consultant RSE ou en ressources humaines joue un rôle déterminant pour les guider vers cette transition. Ils peuvent notamment mettre en place des initiatives inclusives ou des stratégies qui respectent les normes de la RSE.

Ces domaines ne sont qu’un avant-goût des innombrables opportunités qui s’offrent à vous en tant que consultant freelance. Ils montrent bien la variété des missions que vous pouvez entreprendre. Alors, croyez en vous et démarrez ce projet qui vous passionne !

3. Quel est le salaire d’un consultant ? 

Une consultante ou un consultant peut espérer gagner en moyenne 44 000 € par an (source : Glassdoor.fr). En effet, cette profession fait partie des mieux rémunérées, et cela, même pour de jeunes diplômés. Mais bien entendu, ce chiffre peut varier en fonction de plusieurs facteurs :

• L’expérience : Plus vous avez d’années d’expérience dans votre secteur, plus vous pouvez prétendre à des tarifs élevés. 

• Le domaine d’expertise : Certains secteurs sont plus rémunérateurs que d’autres. Par exemple, le conseil en stratégie, la finance ou les nouvelles technologies ont tendance à offrir des revenus bien plus élevés que les généralistes.

• Le type de client : Les grands groupes internationaux ne vont pas rémunérer de la même manière que les PME ou les start-ups. De plus, les missions pour des clients publics peuvent avoir des plafonds réglementaires.

• L’enjeu des missions : La complexité et l’importance stratégique des missions influencent aussi la rémunération. 

4. Quelles sont les compétences à avoir pour être consultant indépendant ? 

En France, on dénombre environ 150 000 consultants professionnels. Pour réussir à se démarquer dans ce marché, il ne suffit pas d’avoir une expertise dans une branche d’activité. Il faut aussi posséder un ensemble de compétences professionnelles et humaines qui feront de vous « LE consultant » avec qui travailler.

LES COMPÉTENCES PROFESSIONNELLES OU HARD SKILLS :

• Posséder une expérience technique : Finance, marketing digital ou SEO, vous devez être expert dans un domaine pour pouvoir proposer vos services. En ayant une connaissance fine grâce à une expérience antérieure, par exemple, vous pourrez résoudre des problématiques, mettre en place des stratégies et suggérer des solutions aux clients. 

• Esprit d’entreprise : En tant que consultant freelance, vous êtes à la fois chef de votre propre entreprise et vous intervenez au sein d’autres structures. Un bon professionnel doit avoir cette capacité à comprendre et s’imprégner des valeurs et du fonctionnement de ses clients. 

• Maîtrise des outils professionnels : Une consultante ou un consultant doit proposer des actions concrètes à ses clients. Pour ces raisons, il est nécessaire qu’il soit formé aux méthodologies de conseil (analyse SWOT, design thinking…) et aux logiciels (Word, Excel, PowerPoint…).

LES COMPÉTENCES HUMAINES OU SOFT SKILLS :

• Écoute : Il est important de comprendre les besoins des clients afin d’apporter la solution qu’ils recherchent. 

• Sens du contact : Le conseil est avant tout une profession de relations humaines. Un consultant ou une consultante doit savoir instaurer un climat de confiance avec ses clients, établir de bons rapports avec les équipes et maintenir une communication fluide pour assurer le déroulement de la mission. 

• Réactivité : Un bon consultant doit être capable de réagir rapidement aux imprévus, de proposer des ajustements et de s’adapter aux nouvelles situations sans perdre de vue les objectifs à atteindre. Vos clients apprécieront votre aptitude à gérer l’urgence. 👍

5. Quelle formation pour exercer le métier de consultant ? 

Il n’existe pas de formation unique pour devenir consultant. Concrètement, c’est avant tout mettre son savoir-faire au service des entreprises. Pour y parvenir, plusieurs chemins sont possibles, et si le traditionnel Master est souvent recommandé, ce n’est pas la seule voie d’accès.

FORMATION ACADÉMIQUE

Si vous êtes jeune diplômé, il est fréquemment conseillé d’avoir un bagage académique pour rassurer les recruteurs ou les clients sur vos compétences. En général, un bac +5 dans le domaine dans lequel vous souhaitez intervenir est recommandé. Pourquoi ? Parce que les études supérieures permettent de développer des connaissances transversales comme l’analyse ou la gestion du dossier.

Les cabinets de conseil et les grandes entreprises privilégient les profils issus de formations académiques. Voici quelques exemples de diplômes qui ouvrent les portes du conseil :

• Master en management 
• Master en école d’ingénieur, spécialité management 
• Master en gestion ou en finances
• Master en ressources humaines
• MBA (Master of Business Administration) 

L’AUTODIDAXIE : DEVENIR CONSULTANT SANS DIPLÔME

Le conseil est une activité qui n’est pas encadrée par une réglementation. Contrairement à des professions comme avocat, infirmière ou psychologue, vous n’avez pas besoin d’un diplôme spécifique pour exercer en tant que consultant ou consultante. Cela signifie que le métier de consultant est ouvert à toutes et tous, y compris aux autodidactes qui n’ont pas suivi un parcours universitaire classique.

Cela dit, être consultant ne s’improvise pas. Il faut avoir une expertise légitime pour proposer des services de qualité à vos clients. Cela signifie avoir une expérience professionnelle dans le secteur où vous souhaitez intervenir, et être capable de justifier vos compétences par des réalisations. Si vous avez travaillé plusieurs années sur des projets et développé un véritable savoir, vous pouvez tout à fait vous lancer en tant que consultant freelance, même sans diplôme.

LA RECONVERSION & LES FORMATIONS EN LIGNE

Si vous n’avez pas encore cette expertise ou que vous souhaitez vous reconvertir, pas de panique ! Il n’est jamais trop tard pour apprendre. De nombreux consultants se forment à mesure qu’ils avancent dans leur carrière, parfois même après plusieurs années dans un autre métier. Par exemple, si vous désirez devenir consultant SEO, mais que vous n’avez pas de diplôme en marketing digital, il existe plusieurs solutions :

• Suivre des formations en ligne pour acquérir les bases techniques et stratégiques du référencement naturel.

• Expérimenter par vous-même en créant un blog ou en testant des études de cas fictives pour comprendre le fonctionnement des algorithmes, l’analyse de mots-clés, et les outils SEO.

• Faire des stages ou des missions en freelance à plus petite échelle pour développer votre portefeuille de compétences et étoffer votre CV avant de vous attaquer à des missions plus conséquentes. 

6. Comment démarrer son activité de consultant ?

Vous avez peaufiné votre projet pour devenir consultant ou consultante en suivant une formation, par exemple. Désormais, il est temps de passer à la seconde étape : créer son entreprise de conseil ! Voici les astuces de LiveMentor pour y arriver.

#1 Définir son positionnement 

Avant de proposer vos services à des entreprises, vous devez être au clair sur votre expertise et, au besoin, trouver votre niche. C’est ce qui va vous distinguer de vos concurrents. Pour y arriver, vous pouvez vous poser ces questions : 

• Dans quel domaine êtes-vous compétent ? 
• Quel type de problèmes souhaitez-vous résoudre ? 

Une fois que vous pouvez donner une réponse claire à chacune de ces questions, vous pouvez creuser encore davantage : 

• Qu’est-ce qui vous rend différent de vos concurrents ? 
• Dans quel secteur pouvez-vous vous spécialiser pour toucher une cible qui a besoin de votre savoir-faire ? 

Connaître sa valeur ajoutée et se positionner sur une niche permet d’être perçu comme unique ! Alors, ne lésinez pas vos efforts et posez-vous les bonnes questions pour réussir cette première étape. 👍

#2 Choisir le statut juridique de son entreprise de conseil

C’est une étape incontournable si vous désirez créer votre entreprise. Pour débuter, le statut d’auto-entrepreneur (ou micro-entrepreneur) est le plus populaire. En effet, sa gestion et sa fiscalité sont allégées, ce qui est parfait lorsque l’on ne connaît pas encore tous les rouages de l’entrepreneuriat. 

La seule réserve : le chiffre d’affaires est plafonné à 77 700 €. Si vos ambitions dépassent ce montant ou que vous souhaitez vous associer avec plusieurs consultants, il faudra envisager passer à un autre statut tel que la SASU ou l’EURL. 

#3 Développer une stratégie commerciale

Pour réussir en tant que consultante ou consultant indépendant, vous devez avoir une stratégie commerciale. Il s’agit de l’ensemble des décisions et des actions à mettre en place pour atteindre vos objectifs et se développer sur le marché de l’entrepreneuriat. Il faut : 

1. Définir vos objectifs financiers : Combien souhaitez-vous gagner mensuellement ? 

2. Structurer votre offre : Que proposez-vous ? Comment et à qui ?

3. Déterminer les canaux de communication à utiliser : Réseaux sociaux, bouche-à-oreille et networking.

4. Développer une stratégie de prospection : Appels, envoi de mails ou de vidéos, prise de contact sur LinkedIn.

5. Fixer vos tarifs : Trouver un équilibre entre votre niveau d’expérience et la complexité de vos missions tout en restant attractif sur le marché du conseil.

▶️ Si cette étape vous semble trop complexe, nous avons développé la formation « créer son entreprise » pour vous accompagner dans la réussite de votre projet.

#4 Créer sa présence en ligne

Cela peut sembler évident, mais nous préférons la rappeler : l’utilisation des canaux de communication digitaux est aujourd’hui devenue indispensable pour se faire connaître ! Il faut donc soigner votre présence en ligne : 

• Créer un site web professionnel : Il représente votre identité et vos valeurs. Mais c’est aussi un outil qui va permettre à vos futurs clients d’avoir un aperçu de vos connaissances, de vos services et des prestations que vous avez déjà réalisées, par exemple. Vous pouvez y faire figurer des témoignages vérifiés : ils sont un gage de qualité et de confiance.

• Communiquer et développer un réseau et/ou une communauté via un blog ou des publications sur les réseaux sociaux. 

• Rejoindre des communautés professionnelles sur internet ou participer à des groupes de discussion. 

N’oubliez jamais, plus vous faites parler de vous, plus vous aurez d’opportunités de collaborations et de recommandations !  

#5 Trouver ses premiers clients 

Trouver vos premiers clients est souvent le plus grand défi quand vous vous lancez en tant que consultant ou consultante freelance. La première étape consiste à identifier les entreprises ou les personnes qui ont besoin de votre expertise. Pour cela, n’hésitez pas à activer votre réseau : anciens collègues, amis ou contacts professionnels peuvent être une première porte d’entrée. 

Ensuite, travailler la stratégie de prospection : envoyer des emails personnalisés, utiliser LinkedIn pour entrer en contact avec des prospects et participer à des événements professionnels. Enfin, soyez prêt à offrir de la valeur : proposer des audits gratuits ou des conseils pour susciter l’intérêt et prouver votre savoir-faire.

Se lancer dans l’entrepreneuriat, c’est aussi savoir prendre des risques et oser ! Alors, faites-vous confiance, vous pouvez y arriver. 👏

7. Quelles sont les perspectives d’évolution pour un consultant freelance ? 

Votre activité de consultante ou consultant est en route. Vous avez réussi à trouver vos premières missions. La confiance que vous avez gagnée vous pousse à développer davantage votre entreprise. Voici quelques pistes qui pourraient vous donner de l’inspiration.  

#1 Créer une agence de conseil 

Lors de la création de votre entreprise, vous aviez peut-être opté pour le régime de la micro-entreprise. Après plusieurs années, il est tout à fait légitime de vouloir créer sa propre agence de conseil. L’agrandissement de votre structure nécessite d’engager d’autres consultants, d’élargir votre offre de services et de gérer des missions plus ambitieuses. Vous passez du statut de consultant indépendant à celui de dirigeant d’une agence de conseil. 

Créer une agence permet de donner une nouvelle impulsion à votre vie professionnelle, mais nécessite aussi un fonctionnement et un investissement en temps légèrement différent. Si le cœur vous en dit : à vous de jouer ! 

#2 S’orienter vers la formation et le coaching

Les consultants aiment apporter leur expertise et résoudre des problèmes. Il serait alors logique d’envisager de transmettre vos connaissances pour aider encore davantage de professionnels. 

• En tant que formateur, vous aidez d’autres professionnels ou des étudiants à développer leurs compétences et à devenir, à leur tour, des consultants freelances. Vous pouvez, à cette occasion, établir des partenariats avec des écoles ou des universités pour concevoir des programmes de formation. Cela vous permettra de diversifier votre activité, mais aussi votre source de revenus. 

• En tant que coach, vous aidez d’autres professionnels à prendre confiance en eux et à affiner leurs compétences dans votre domaine de prédilection. 

#3 Développer un service d’abonnement

Le développement d’un service d’abonnement vous permet de vous assurer un revenu mensuel. En effet, vos clients paient un montant fixe pour un accès régulier à vos conseils ou à des ressources exclusives. Votre prestation d’abonnement peut comprendre, par exemple : des audits, des séances de coaching ou de formation pour les salariés de l’entreprise. 

Conclusion

Vous êtes arrivés à la fin de cet article. 🙂 Nous espérons que ces informations vous ont éclairé et motivé à franchir le pas pour devenir consultante ou consultant. Ce métier est idéal pour celles et ceux qui aiment allier technique et relationnel. En apportant des solutions concrètes aux entreprises, vous jouez un rôle dans leur bon fonctionnement. Mais c’est aussi une carrière passionnante pour les esprits curieux, en quête de nouveaux défis, car chaque projet et chaque client sont uniques.

Bien sûr, vous pouvez exercer en cabinet de conseil. Mais chez LiveMentor, nous croyons profondément à l’entrepreneuriat. Nous savons qu’il faut parfois du courage pour se lancer, et que le manque de confiance peut freiner certains projets. C’est pourquoi nous avons mis en place un réseau d’experts, les mentors. Ces entrepreneurs sont là pour vous guider, vous donner les clés pour faire décoller votre activité et vous apprendre à maîtriser les compétences indispensables aujourd’hui : réseaux sociaux, SEO, IA, et bien plus encore.

Alors, si vous avez besoin d’un coup de pouce pour transformer vos idées en réalité, n’hésitez pas à nous rejoindre. Nous serons ravis de faire partie de votre aventure !

À bientôt !

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